Tout a commencé par l’écoute d’une émission de Raphaël Enthoven qui citait le maître : « Par réalité et perfection j’entends la même chose. » Cet ouvrage, compliqué, nous conduit « comme par la main » sur les chemins de la béatitude, c’est-à-dire la joie parfaite, l’acceptation du monde tel qu’il est.

Spinoza soutient que la joie est un moteur. C’est elle qui nous guide vers la liberté. Avec Spinoza,  on est loin du volontarisme, c’est tout l’être humain qu’il s’agit de convertir en le comprenant d’abord, avant de le juger. Ce livre est un lumineux compagnon pour le disciple de la joie.

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